Dans la jurisprudence médicale, si la femme allaitante se sent trop faible pour jeûner, qu’elle perd beaucoup d’énergie avec son allaitement, il lui est autorisée de ne pas jeûner.
Si au contraire, elle se sent capable de jeûner, il lui sera conseillé de consommer des adaptogènes et de la vitamine c le matin, comme l’acerola, ainsi qu’une gélule de cordyceps. Elle ajoutera à cela deux ou trois comprimés de spiruline le matin et le soir, ainsi que de la gelée royale sous forme d’ampoule d’ampoule le matin.
En ce qui concerne son petit déjeuner, il devra contenir des protéines, comme des œufs de ferme, du miel et “alhaba assawda” (graine de nigelle), très bénéfique pendant l’allaitement. Aussi, elle pourra ajouter à son repas du lait de chamelle ou du lait végétal (amande ou coco).
Enfin, elle veillera à bien s’hydrater, notamment en buvant des tisanes tout au long de la soirée, à base de fenouil par exemple.