Il existe une plante efficace pour traiter les douleurs musculaires qui est l’harpagophytum. On la trouve en extrait fluide, sous forme de gélules et également sous forme de pommade, qui est la forme la plus adaptée pour les personnes âgées.
La pommade à l’harpagophytum, associée à la capsaïcine, un élément actif du piment, sera à appliquer sur les endroits douloureux une à deux fois par jour. Il est aussi conseillé de prendre de la reine-des-prés, qui est une aspirine végétale puissante. Elle sera à prendre en infusion,et non en décoction, car elle est pleine de salicylates, à raison de deux tasses par jour après les repas.
Par ailleurs, il ne faudra pas oublier de faire pratiquer par un kinésithérapeute des manipulations vertébrales. Et toujours dans la médecine naturelle on trouvera les vitamines, comme la vitamine B6 et le magnésium.
Si les douleurs sont intenses, il serait bon de se rendre dans un sauna, mais également de se faire masser avec des huiles essentielles comme l’huile essentielle de camphre, de gaulthérie ou de thym.
Le malade atteint de cancer de la prostate, et sous chimiothérapie aura besoin d’éléments naturels pour booster son immunité, comme les champignons chinois reishi, shiitake ou maitake , qui sont à prendre en cure de trois mois trois fois par jour après les repas.
Afin de renforcer la prostate, l’huile de sésame prise le matin à jeun sera efficace.
Par ailleurs, il sera possible de préparer un mélange avec un kilo de bon miel, comme le miel de jujubier du Yémen, dans lequel on y mettra 25 grammes de graines de courge bio moulues, 25 grammes de pollen moulu, et 25 grammes de graines de nigelle moulues, puis ce mélange sera à prendre à jeun le matin ainsi que le soir avant de se coucher raison d’une cuillère à soupe à chaque prise.
En ce qui concerne la chimiothérapie, l’extrait de melon qu’on appelle l’extramel aidera le malade à supporter les effets secondaires du traitement comme les nausées, les vomissements et la faiblesse. On trouve des laboratoires qui proposent des gélules d’extramel, dont la posologie sera d’une à deux gélules.
La femme qui souhaite faire baisser sa prolactine naturellement peut utiliser une plante qu’on appelle gattilier. Pour ce faire, elle fera une cure sur une longue durée, soit minimum dix-huit mois, en prenant deux à trois gélules par jour.
On trouve par ailleurs la sauge officinale, qui est un régulateur hormonal, qui aide notamment à réguler le cycle menstruel et éviter le phénomène du syndrome pré menstruel. La femme pourra prendre deux à trois tisanes par jour de sauge sur une longue durée également.
Aujourd’hui on trouve même des compléments en gélules à base de sauge et de gattilier, dont la prise sera de deux gélules par jour pour une durée de dix-huit mois.
Mais encore, la cause de l’hyperprolactinémie peut venir du stress, c’est pour cela qu’il sera bon de prendre en complément alimentaire de la vitamine E et B à raison d’une gélule le matin pendant dix-huit mois.
Comme on l’aura vu, faire baisser le taux de prolactine nécessitera un long moment, et plusieurs facteurs seront à prendre en compte.
Le manque de glucide peut provoquer un stress psychologique ou physique. Le ginseng, qui un fragment de racine séchée contient des adaptogènes, qui pourront combattre le stress, l’asthénie et la fatigue. En effet, cette racine contient des saponosides qui sont efficaces pour lutter contre la nervosité. On pourra l’associer à des remèdes stimulants comme le thé, la vitamine B6 ou encore le magnésium.
Il sera donc très efficace de prendre une gélule de ginseng associé au magnésium et à la vitamine B6, matin, midi et soir avant les repas pendant une durée de trois mois.
Tout d’abord, le prophète ﷺ choisissait toujours entre le chaud et le froid pour avoir un équilibre, à l’image d’aujourd’hui lorsque l’on cherche l’équilibre entre protéines, lipides et glucides. À l’époque du prophète ﷺ, on utilisait la théorie grecque qui a été exportée dans le monde entier, et qui est arrivée jusqu’aux Perses, qui l’ont comprise et appliquée, et elle ensuite arrivée jusqu’à la péninsule arabique.
Cette théorie ancienne utilisait les humeurs, les couleurs, le chaud et le froid, et on la retrouve dans les livres de Ibn Sina (Avicène), ou Ibn Rushd ( Aveores).
Il est déconseillé pour une femme enceinte d’utiliser l’ortie puisque cette plante est emménagogue . Elle peut donc causer de gros risques durant la grossesse, néanmoins pour les derniers jours de grossesse elle pourra être prise en petite quantité afin de faciliter l’accouchement.
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